À l’heure où les déplacements contrariés (guerres, épidémies), les réalités économiques et les désastres environnementaux nous obligent à reconsidérer nos manières de voyager, Aude Vidal pointe notre grande ambivalence à ce sujet et les dégâts écologiques, culturels et sociaux que nous causons, à l’étranger comme en France, quand nous satisfaisons notre « besoin d’ailleurs ».
Si penser le tourisme et le voyage modernes, c’est penser une « économie du surplus » qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres, c’est aussi s’attaquer aux inégalités qui minent nos sociétés et à celles qui continuent de croître entre les sociétés.
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Rencontre autour du livre : Dévorer le monde – Voyage, capitalisme et dominations

Rencontre le 10 décembre à 19h à l’Athénée Libertaire